Le nouveau président sud-africain a largement consacré son premier discours sur l'état de la nation à la lutte contre la pauvreté. Jacob Zuma, qui a abordé le défi posé par la crise économique, a entre autres annoncé la création de 500.000 emplois d'ici décembre.
La lutte contre la pauvreté "reste la pierre angulaire" du programme du nouveau gouvernement sud-africain, a déclaré le président Jacob Zuma mercredi au Cap (sud-ouest) lors de son premier discours sur l'état de la nation, alors que le pays vient d'entrer en récession.
"La lutte contre la pauvreté reste la pierre angulaire de notre gouvernement", a déclaré M. Zuma.
"Même si l'Afrique du Sud n'a pas été autant touchée que d'autres pays (par la crise), ses conséquences affectent désormais clairement notre économie. Nous sommes entrés en récession", a-t-il poursuivi.
"Minimiser l'impact négatif"
"Le ralentissement économique aura des conséquences sur le rythme auquel notre pays sera capable de relever les défis économiques et sociaux", a-t-il reconnu Jacob Zuma.
"Mais cela n'aura pas d'incidence" sur nos objectifs en matière de développement, a-t-il immédiatement ajouté.
"Nous devons agir pour minimiser cet impact négatif sur les personnes les plus vulnérables", a insisté le chef de l'Etat. "Des travailleurs luttent pour nourrir leur famille et bataillent pour trouver du travail", "des communautés sont sans eau potable, logements décents ou installations sanitaires correctes", "des enfants n'ont pas les moyens d'avoir une bonne éducation", a-t-il rappelé.
500.000 emplois d'ici décembre
Le nouveau gouvernement prévoit notamment de "créer environ 500.000 emplois" d'ici décembre. "Entre maintenant et décembre 2009, nous prévoyons de créer environ 500.000 emplois", a déclaré M. Zuma.
"La création d'emplois décents sera au coeur de notre politique économique et influencera notre capacité à attirer les investissements", a-t-il ajouté devant le Parlement.
Le taux de chômage est officiellement de 23,1% en Afrique du Sud, première puissance économique du continent noir, mais il frôle les 40%, selon la définition large de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Constructions d'infrastructures
M. Zuma s'est aussi engagé à "mettre à exécution" le programme de développement des infrastructures, prévu dans le budget adopté plus tôt cette année et chiffré sur trois ans "à 787 milliards de rands (98 milliards de dollars, 70 milliards d'euros)". Ce programme prévoit la construction d'écoles, de transports publics et d'installations sanitaires, a-t-il précisé.
M. Zuma, élu président par le Parlement après la victoire sans appel de son parti aux élections législatives du 22 avril, avait promis durant la campagne électorale de lutter contre la pauvreté et le chômage.Le nouveau président sud-africain a largement consacré son premier discours sur l'état de la nation à la lutte contre la pauvreté. Jacob Zuma, qui a abordé le défi posé par la crise économique, a entre autres annoncé la création de 500.000 emplois d'ici décembre.
La lutte contre la pauvreté "reste la pierre angulaire" du programme du nouveau gouvernement sud-africain, a déclaré le président Jacob Zuma mercredi au Cap (sud-ouest) lors de son premier discours sur l'état de la nation, alors que le pays vient d'entrer en récession.
"La lutte contre la pauvreté reste la pierre angulaire de notre gouvernement", a déclaré M. Zuma.
"Même si l'Afrique du Sud n'a pas été autant touchée que d'autres pays (par la crise), ses conséquences affectent désormais clairement notre économie. Nous sommes entrés en récession", a-t-il poursuivi.
"Minimiser l'impact négatif"
"Le ralentissement économique aura des conséquences sur le rythme auquel notre pays sera capable de relever les défis économiques et sociaux", a-t-il reconnu Jacob Zuma.
"Mais cela n'aura pas d'incidence" sur nos objectifs en matière de développement, a-t-il immédiatement ajouté.
"Nous devons agir pour minimiser cet impact négatif sur les personnes les plus vulnérables", a insisté le chef de l'Etat. "Des travailleurs luttent pour nourrir leur famille et bataillent pour trouver du travail", "des communautés sont sans eau potable, logements décents ou installations sanitaires correctes", "des enfants n'ont pas les moyens d'avoir une bonne éducation", a-t-il rappelé.
500.000 emplois d'ici décembre
Le nouveau gouvernement prévoit notamment de "créer environ 500.000 emplois" d'ici décembre. "Entre maintenant et décembre 2009, nous prévoyons de créer environ 500.000 emplois", a déclaré M. Zuma.
"La création d'emplois décents sera au coeur de notre politique économique et influencera notre capacité à attirer les investissements", a-t-il ajouté devant le Parlement.
Le taux de chômage est officiellement de 23,1% en Afrique du Sud, première puissance économique du continent noir, mais il frôle les 40%, selon la définition large de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Constructions d'infrastructures
M. Zuma s'est aussi engagé à "mettre à exécution" le programme de développement des infrastructures, prévu dans le budget adopté plus tôt cette année et chiffré sur trois ans "à 787 milliards de rands (98 milliards de dollars, 70 milliards d'euros)". Ce programme prévoit la construction d'écoles, de transports publics et d'installations sanitaires, a-t-il précisé.
M. Zuma, élu président par le Parlement après la victoire sans appel de son parti aux élections législatives du 22 avril, avait promis durant la campagne électorale de lutter contre la pauvreté et le chômage.
La lutte contre la pauvreté "reste la pierre angulaire" du programme du nouveau gouvernement sud-africain, a déclaré le président Jacob Zuma mercredi au Cap (sud-ouest) lors de son premier discours sur l'état de la nation, alors que le pays vient d'entrer en récession.
"La lutte contre la pauvreté reste la pierre angulaire de notre gouvernement", a déclaré M. Zuma.
"Même si l'Afrique du Sud n'a pas été autant touchée que d'autres pays (par la crise), ses conséquences affectent désormais clairement notre économie. Nous sommes entrés en récession", a-t-il poursuivi.
"Minimiser l'impact négatif"
"Le ralentissement économique aura des conséquences sur le rythme auquel notre pays sera capable de relever les défis économiques et sociaux", a-t-il reconnu Jacob Zuma.
"Mais cela n'aura pas d'incidence" sur nos objectifs en matière de développement, a-t-il immédiatement ajouté.
"Nous devons agir pour minimiser cet impact négatif sur les personnes les plus vulnérables", a insisté le chef de l'Etat. "Des travailleurs luttent pour nourrir leur famille et bataillent pour trouver du travail", "des communautés sont sans eau potable, logements décents ou installations sanitaires correctes", "des enfants n'ont pas les moyens d'avoir une bonne éducation", a-t-il rappelé.
500.000 emplois d'ici décembre
Le nouveau gouvernement prévoit notamment de "créer environ 500.000 emplois" d'ici décembre. "Entre maintenant et décembre 2009, nous prévoyons de créer environ 500.000 emplois", a déclaré M. Zuma.
"La création d'emplois décents sera au coeur de notre politique économique et influencera notre capacité à attirer les investissements", a-t-il ajouté devant le Parlement.
Le taux de chômage est officiellement de 23,1% en Afrique du Sud, première puissance économique du continent noir, mais il frôle les 40%, selon la définition large de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Constructions d'infrastructures
M. Zuma s'est aussi engagé à "mettre à exécution" le programme de développement des infrastructures, prévu dans le budget adopté plus tôt cette année et chiffré sur trois ans "à 787 milliards de rands (98 milliards de dollars, 70 milliards d'euros)". Ce programme prévoit la construction d'écoles, de transports publics et d'installations sanitaires, a-t-il précisé.
M. Zuma, élu président par le Parlement après la victoire sans appel de son parti aux élections législatives du 22 avril, avait promis durant la campagne électorale de lutter contre la pauvreté et le chômage.Le nouveau président sud-africain a largement consacré son premier discours sur l'état de la nation à la lutte contre la pauvreté. Jacob Zuma, qui a abordé le défi posé par la crise économique, a entre autres annoncé la création de 500.000 emplois d'ici décembre.
La lutte contre la pauvreté "reste la pierre angulaire" du programme du nouveau gouvernement sud-africain, a déclaré le président Jacob Zuma mercredi au Cap (sud-ouest) lors de son premier discours sur l'état de la nation, alors que le pays vient d'entrer en récession.
"La lutte contre la pauvreté reste la pierre angulaire de notre gouvernement", a déclaré M. Zuma.
"Même si l'Afrique du Sud n'a pas été autant touchée que d'autres pays (par la crise), ses conséquences affectent désormais clairement notre économie. Nous sommes entrés en récession", a-t-il poursuivi.
"Minimiser l'impact négatif"
"Le ralentissement économique aura des conséquences sur le rythme auquel notre pays sera capable de relever les défis économiques et sociaux", a-t-il reconnu Jacob Zuma.
"Mais cela n'aura pas d'incidence" sur nos objectifs en matière de développement, a-t-il immédiatement ajouté.
"Nous devons agir pour minimiser cet impact négatif sur les personnes les plus vulnérables", a insisté le chef de l'Etat. "Des travailleurs luttent pour nourrir leur famille et bataillent pour trouver du travail", "des communautés sont sans eau potable, logements décents ou installations sanitaires correctes", "des enfants n'ont pas les moyens d'avoir une bonne éducation", a-t-il rappelé.
500.000 emplois d'ici décembre
Le nouveau gouvernement prévoit notamment de "créer environ 500.000 emplois" d'ici décembre. "Entre maintenant et décembre 2009, nous prévoyons de créer environ 500.000 emplois", a déclaré M. Zuma.
"La création d'emplois décents sera au coeur de notre politique économique et influencera notre capacité à attirer les investissements", a-t-il ajouté devant le Parlement.
Le taux de chômage est officiellement de 23,1% en Afrique du Sud, première puissance économique du continent noir, mais il frôle les 40%, selon la définition large de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Constructions d'infrastructures
M. Zuma s'est aussi engagé à "mettre à exécution" le programme de développement des infrastructures, prévu dans le budget adopté plus tôt cette année et chiffré sur trois ans "à 787 milliards de rands (98 milliards de dollars, 70 milliards d'euros)". Ce programme prévoit la construction d'écoles, de transports publics et d'installations sanitaires, a-t-il précisé.
M. Zuma, élu président par le Parlement après la victoire sans appel de son parti aux élections législatives du 22 avril, avait promis durant la campagne électorale de lutter contre la pauvreté et le chômage.
Je m'appelle Mme Celia Dave. Je vis au Royaume-Uni
ReplyDeleteet je suis une femme heureuse aujourd'hui? et moi
me dit que tout prêteur qui sauve mon
famille de notre mauvaise situation, je referai
toute personne qui lui demande un prêt,
il a donné du bonheur à moi et à ma famille, je
avait besoin d'un prêt de 250 000 $ à
recommencer ma vie comme je suis célibataire
mère avec 3 enfants, j'ai rencontré cet honnête et DIEU
craignant l'homme prêteur de prêt qui m'aide avec un
prêt de 250000,00 $ US Dollar, il est un DIEU
craignant l'homme, si vous avez besoin d'un prêt et
vous rembourserez le prêt veuillez contacter
lui dire que c'est Mme Celia Dave que
vous référer à lui. Son nom est M. Benjamin Lee
Son Email (247officedept@gmail.com) Ou conversation WhatsApp: + 1-989-394-3740.