Nobody said it better than Nelson Mandela: “There is a tragic lack of leadership”.The time has come for the new generation to find the new ways, the new fights: the response for the future of the continent.
Tuesday, 30 June 2009
B. Obama’s silence on Michael Jackson’s death is really disappointing!
As Neda’s breath goes away, the smoke of hope rises in the streets of Tehran!
I spent the last two weeks monitoring the situation, and the information able to come out of Iran. It has been troubling, shocking and heartbreaking at times. The paradox though for a country as fundamentalist and airtight as Iran, is that as hurting as can be the scenes of violence and the hard repression of the Islamic regime in the street of Tehran, the revolt of Iranian people against an authoritarian regime that was brought on to them by themselves gives a great deal of optimism around the globe to those who believe in human rights, justice and freedom for all mankind.
I was ready on late Thursday night to give my perspective on the Iranian unrest, when suddenly there was the Breaking news in all the news websites… First it was reported by the Los Angeles Times that Michael Jackson had been rushed to a Los Angeles-area hospital by fire department paramedics. The newspaper said paramedics performed cardiopulmonary resuscitation at the singer's home before taking him to the UCLA Medical Center hospital. A couple of hours later he was declared dead.
For years it seems inevitable, yet there it was, and it was unbelievable!
It’s been four days, and still no tribute from Barack Obama the President of the United State of America. It is hard to understand! People are mourning around the world; and images coming from the fives continents are there to testify. It is humbling! Michael Jackson has marked his time and many generations as nobody had done before him. He broke many barriers, and brought together people from different backgrounds and different races. As Michael Eric Dyson put it on This Week : “Michael Jackson was the first black man to seize the culture authority and to command the audience of the global.” He certainly helped to pave the way for the Age of Obama. It is therefore really disappointing to face the deafening silence of the President when of such a stature falls. Yes an imperfect man, but also a great American whose hard work helped the image of America around the globe. His legacy stands tall and is everlasting.
Instead of tribute, what came out “publicly” from the White House is disdain. Senior White House Adviser David Axelrod on Meet The Press emphasized the fact that Michael Jackson was Just a magnificent entertainer who lived a sad life in many ways… As a great admirer of Barack Obama, I found the comments appalling! It is something to criticize another man mistakes, but to judge unfit for public recognition a man whose legacy is assured to pass the test of time is really disappointing (to put it mildly).
The Holy Bible teaches us that: “It is better to go to a house of mourning than to go to a house of feasting, because that is the end of every man, and the living takes it to heart”. Let’s also remember to stop judging as we will by no means be judged!
Lucien Dissake
Sunday, 28 June 2009
Man City make 'monster' Eto'o offer - CNN.com
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Friday, 26 June 2009
Reuters.com - King of Pop Michael Jackson is dead: report
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Monday, 22 June 2009
Le Cameroun a desormais la plus grande reserve mondiale de diamand!!!
Le 27 mai, Badel Ndanga Ndinga, ministre camerounais des Mines, a confirmé la découverte d’un important gisement diamantifère par une équipe de géologues travaillant pour le compte de l’entreprise sud-coréenne C&K Mining à Mobilong et Limokoali, dans l’est du pays.
Bénéficiaires d’un permis d’exploration minière délivré en 2007, les Sud-Coréens se félicitent d’avoir révélé « les plus grosses réserves connues à ce jour dans le monde », estimées à 736 millions de carats, soit cinq fois la production mondiale annuelle. Même si Paul Nia, géologue à l’Institut de recherches géologiques et minières du Cameroun, relativise en estimant qu’il n’est « pas encore prouvé que cette découverte est plus importante que les gisements d’Afrique australe ».
Prenant acte de la découverte, le gouvernement camerounais n’a pas encore exprimé ses intentions. Pourtant, le Korea Times esquisse déjà le scénario de l’exploitation de la future mine de diamants. Selon le journal de Séoul, les gemmes issues du sous-sol camerounais pourraient être taillées en Corée du Sud avant d’être réexportées, pour la joaillerie de luxe. Pour sa part, Kim Won-Sa, le scientifique coréen qui a dirigé la mission d’exploration, prévoit déjà un début d’exploitation pour cette année. Quant à l’entreprise initiatrice de l’exploration, C&K Mining, elle compte investir 500 milliards de F CFA sur vingt-cinq ans et annonce la création de 4 000 emplois directs lors de la phase d’exploitation.
Manifestement, le Cameroun n’en est pas encore à ce point. Prudent, Ndanga Ndinga rappelle qu’« un seul permis d’exploitation a été délivré à ce jour. Il a été attribué à Geovic, qui va exploiter le nickel et le cobalt à Lomié [Est] ». Il faut dire qu’à l’instar de la gestion des revenus pétroliers, longtemps caractérisée par un manque de transparence, la loi du silence a toujours conduit les autorités à en dire le moins possible sur le secteur minier.
Thursday, 18 June 2009
Biya veut-il passer le Pourvoir à l’armée?
Que se passerait-il au Cameroun si les positions étaient inversées entre Yaoundé et Libreville ? Nous y étions presque, il y a quelques années…
A 76 ans le repos volontaire ou naturel du chef ne peut être considéré comme étant un sujet tabou. Le manque de clarté dans la loi fondamentale du Pays de Roger Milla, et surtout le manque criard de respect pour la loi, institutionnalisé par le renouveau de Paul Biya n’augurent rien de bon quant à l’avenir de mon pays. D’où la question : Biya veut-il passer le Pourvoir à l’armée?
Les forces armées du Cameroun sont solidement contrôlées par le clan « Meka ». Le Général René Claude Meka est le chef d’État-major des armées, et son neveu Rémy Ze Meka est le ministre délégué à la Présidence chargé de la Défense. Dans un scénario de vacance subite du pouvoir pour cause de décès, de démission ou d’empêchement définitif du Président de la république ; avec une constitution qui facilement peut être sujet à plusieurs interprétations, il serait aisé d’envisager « au nom du maintien de l’ordre et de la sauvegarde de la paix », la prise du pouvoir par l’armée contrôlée par la famille Meka.
Après avoir promulgué une nouvelle constitution en 1996 qui stipule que : Le président du Sénat assure l’intérim en cas de vacance définitif du président de la république, le président Biya a été incapable en 13 ans de mettre sur pied certains organes de représentation du peuple tel que le Sénat requis dans l’article 6 de la constitution. Il s’empressera pourtant d’abroger cet article pour se redonner un mandat à vie 12 ans plus tard.
Bien qu’il soit stipulé dans l’article 67 que : « l’Assemblée Nationale exerce la plénitude du pouvoir législatif et jouit de l’ensemble des prérogatives reconnues au Parlement jusqu'à la mise en place du Sénat », dans un contexte de course effrénée vers le pouvoir, cette évidence deviendrait une ambiguïté que Biya maintien au niveau des institutions, et qui est un grand danger pour la stabilité de l’Etat au cas où arriverait une fatalité.
Le Gabon, bien qu’ayant adopté sa constitution en 2003, 7 ans après celle du Cameroun ; il a sous la baguette de son dictateur d’alors Omar Bongo (qui semblait éternel) mis en œuvre sa loi fondamentale, ce qui permet aujourd’hui aux gabonais (bien que dubitatifs du fait de la peur de l’inconnu) d’aborder la continuité de l’Etat avec un certain optimisme. La dignité à laquelle fait preuve la classe politique gabonaise jusqu’ici, en respectant mot par mot la constitution de leur pays, donne de l’espoir à ceux qui comme moi croient que: même si l’Afrique était mal partie, l’espoir de voir un avenir meilleur pour les générations futures demeure.
P.S : Mes pensées les plus sincères à la famille d’Omar Bongo, et prions pour que Dieu tout puissant aide son âme à reposer en paix !
Lucien Dissake
Monday, 8 June 2009
Officiel : le président gabonais est mort en Espagne
Le président rfançais a aussitôt exprimé sa «tristesse et son émotion», assurant que la France était «dans cette épreuve aux côtés du Gabon, de ses institutions et de son peuple». «C'est un grand et fidèle ami de la France qui nous a quittés, une haute figure de l'Afrique et un chef d'Etat qui avait su gagner l'estime et le respect de l'ensemble de ses pairs, notamment par ses nombreuses initiatives en faveur de la paix sur le continent africain», indique le communiqué de l'Elysée.
Au pouvoir depuis quarante et un ans, l'indéboulonnable président gabonais avait brusquement fait savoir le 6 mai, qu'il «suspendait momentanément» ses activités, laissant la gestion des affaires courantes au gouvernement. La situation totalement inédite avait sonné comme un aveu de la gravité de la maladie et semé l'inquiétude. L'officialisation de la fin du président a immédiatement vidé les rues de Libreville, les Gabonais se terrant chez eux effrayés par l'avenir incertain qui se dessine. Lundi soir, le Gabon a ordonné la fermeture des frontières. Car prendre la suite d'Omar Bongo sera délicat. Président omnipotent, clé de voûte d'un système complexe construit autour de clans rivaux et d'allégeances forcées ou intéressées, l'homme ne laisse aucun dauphin désigné.
Le premier cercle, la famille, est sans doute le mieux placé pour succéder au défunt doyen, à commencer par son fils Ali. Allié au ministre de l'Intérieur André Mba Obame, Ali Bongo, 50 ans, dirige le stratégique ministère de la Défense depuis dix ans. Il peut compter par ailleurs sur des appuis dans le très puissant Parti démocratique gabonais (PDG). En dépit de ces atouts, la voie n'est pas totalement ouverte à l'héritier. Le 20 mai dernier, une tentative menée par les « rénovateurs » pour le faire élire à la tête du PDG aurait d'ailleurs échoué.
Démarche dynastique
Le noyau familial compte un autre prétendant, Paul Toungui, nouveau chef de la diplomatie, mais surtout compagnon de la fille aînée d'Omar Bongo, Pascaline, directrice du cabinet du chef de l'État et grand argentier du régime. Ali Bongo, doit par ailleurs faire face à une certaine hostilité de la population, qui lui reproche son éducation française et sa mauvaise maîtrise des langues locales. Et, nombre de diplomates se montrent peu enthousiastes à l'idée de cette démarche presque monarchique.
Il lui faudra également faire face à l'entrée en lice, des « opposants » historiques, comme Pierre Mamboundou ou Zacharie Myboto, qui ont fini par rejoindre la galaxie Bongo. La mort du chef devrait raviver leurs ambitions en berne. Une ambition qui pourrait également naître chez les barons du régime. Ainsi, le général Idriss Ngari, 63 ans, ostracisé ces dernières années, possède toujours des amis dans la vieille garde du PDG et dans l'armée qu'il a très longuement dirigée. La mort du président gabonais pourrait aussi sonner le réveil d'un certain nationalisme des Fangs, l'ethnie dominante du Gabon, auxquels le pouvoir échappe depuis plus de quatre décennies
www.lefigaro.fr
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Saturday, 6 June 2009
La folie est de toujours se comporter de la même manière et de s’attendre à un résultat différent (Albert Einstein). Malgré tout, Allez les Lions!
Malgré la continue incapacité du pouvoir de Yaoundé à gérer notre réelle fierté,
Malgré la tentation forte dans nos cœurs de vouloir que toute cette stupidité soit discréditée,
Une fois de plus, comme d’habitude soutenons notre équipe fanion.
Une fois de plus, défions la raison et rêvons de l’invincibilité de nos lions.
Indomptables ils sont depuis 1982, tout comme le renouveau de Biya.
Indomptables nous n’avons cessé d’être, et Indomptables nous serons bien au-delà…
Fous de foot, totalement dépendants et aveuglés par l’immuable amour envers notre équipe.
Fous de continuer la navigation à vue !
Après avoir valoriser le football africain, allons nous être absents de la fête chez Mandela ?
Après avoir défié Maradona et conquit Higuita, allons nous devoir supporter notre voisin gabonais à cause de l’incompétence de nos dirigeants ?
Espérons que non ! N’avons-nous pas connu des succès dans ce perpétuel désordre ?
Le Cameroun c’est Le Cameroun ! Et c’est bien triste..!
Lucien Dissake
Friday, 5 June 2009
Après le discours d'Obama, le Proche-Orient entre optimisme et attente
LEMONDE.FR avec AFP, Reuters 04.06.09 14h46
Le discours de Barack Obama, jeudi 4 juin au Caire, lors duquel il a plaidé pour un "nouveau départ" dans les relations entre les Etats-Unis et le monde musulman, a été globalement bien salué comme l'ouverture d'une nouvelle ère entre les deux camps. Et ce, même si l'absence de propositions concrètes pour régler le conflit israélo-palestinien a déçu un certain nombre d'acteurs. Les réactions à son discours, retransmis par plus de 30 télévisions du Proche-Orient, ont cependant été nombreuses.
L'Autorité palestinienne a salué comme un "bon début" le discours de M. Obama, dans lequel il a soutenu la quête des Palestiniens pour leur Etat. "C'est un discours clair et franc. Il constitue un pas politique innovateur et un bon début sur lequel il faudra bâtir", a déclaré Nabil Abou Roudeina, porte-parole du président Mahmoud Abbas. Il a estimé que le nouveau président avait rompu dans son discours avec "la précédente politique américaine partiale" en faveur d'Israël.
Le Hamas, qui contrôle la bande de Gaza, a également relevé "un changement tangible" dans le discours du président américain à l'adresse du monde musulman mais aussi "des contradictions". "C'est un discours qui joue sur le sentiment et il est rempli de civilités, ce qui nous laisse croire qu'il visait à embellir l'image de l'Amérique dans le monde", a déclaré le porte-parole du mouvement islamiste, Fawzi Barhoum. En revanche pour le Hezbollah, il n'y a pas de changement réel de politique en vue.La Syrie dit maintenant attendre des actes concrets des Etats-Unis, notamment des pressions envers Israël pour imposer la paix au Proche-Orient "conformément aux résolutions de l'ONU", a déclaré Elias Mrad, rédacteur en chef du quotidien officiel Al-Baas. Pour la Jordanie, ce discours "ouvre la voie à une nouvelle phase dans les relations des Etats-Unis avec le monde arabo-musulman". En Egypte, l'ancien responsable du Djihad islamique, Kamal Habib, a qualifié cette allocution d'"historique" et de "nouveau début" pour les relations entre le monde musulman et l'Occident.
Dans un communiqué de la présidence du Conseil, le gouvernement israélien a pour sa part exprimé "son espoir que l'important discours du président Obama au Caire conduira de facto à une nouvelle réconciliation entre le monde arabo-musulman et Israël." Le député centriste de Kadima (opposition) Zeev Bielsky a appelé le premier ministre israélien "à comprendre qu'il doit s'aligner sur la solution de deux Etats pour deux peuples".
En visite à Washington, le ministre israélien de la défense, Ehoud Barak a estimé que ce discours encourageait les éléments modérés dans le monde islamique. Ce n'est pas l'avis de certains responsables de la droite israélienne qui ont vertement critiqué les propos du président américain. "Nos relations avec les Américains sont fondées sur l'amitié et non sur la soumission. Sur la question de la croissance naturelle dans les implantations, il faut dire aux Américains de ne pas dépasser les bornes", a déclaré le ministre des sciences, Daniel Herschkowitz, du parti nationaliste Foyer juif.
Le chef de l'ONU, Ban Ki-moon, a dit espérer que ce discours permette l'ouverture d'un "nouveau chapitre" dans les relations entre les Etats-Unis et le monde islamique. La France a de son côté salué une déclaration "majeure". "Il s'agit d'un discours qui fera date, dont la portée symbolique mais aussi politique est majeure", a déclaré le porte-parole du ministère des affaires étrangères, Eric Chevallier. "Ce discours indique clairement et sans détour l'engagement des Etats-Unis en faveur de la paix, du droit et de la justice, avec notamment la réaffirmation de la fermeture de Guantanamo, et de la démocratie", a-t-il ajouté. Javier Solana, haut représentant pour la politique étrangère et de sécurité commune de l'Union européenne, a encensé un discours qui "va ouvrir une nouvelle page dans les relations avec le monde arabo-musulman".
Accédez à l'intégralité de cet article sur Lemonde.fr
http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2009/06/04/le-discours-d-obama-est-un-bon-debut-selon-l-autorite-palestinienne_1202454_3222.html
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Copyright Le Monde 2009
Droits de reproduction et de diffusion réservés
Thursday, 4 June 2009
Njombé-Penja : une enclave dans la République
Par Alain B. Batongué
La pauvreté au coeur du discours à la nation de Zuma
La lutte contre la pauvreté "reste la pierre angulaire" du programme du nouveau gouvernement sud-africain, a déclaré le président Jacob Zuma mercredi au Cap (sud-ouest) lors de son premier discours sur l'état de la nation, alors que le pays vient d'entrer en récession.
"La lutte contre la pauvreté reste la pierre angulaire de notre gouvernement", a déclaré M. Zuma.
"Même si l'Afrique du Sud n'a pas été autant touchée que d'autres pays (par la crise), ses conséquences affectent désormais clairement notre économie. Nous sommes entrés en récession", a-t-il poursuivi.
"Minimiser l'impact négatif"
"Le ralentissement économique aura des conséquences sur le rythme auquel notre pays sera capable de relever les défis économiques et sociaux", a-t-il reconnu Jacob Zuma.
"Mais cela n'aura pas d'incidence" sur nos objectifs en matière de développement, a-t-il immédiatement ajouté.
"Nous devons agir pour minimiser cet impact négatif sur les personnes les plus vulnérables", a insisté le chef de l'Etat. "Des travailleurs luttent pour nourrir leur famille et bataillent pour trouver du travail", "des communautés sont sans eau potable, logements décents ou installations sanitaires correctes", "des enfants n'ont pas les moyens d'avoir une bonne éducation", a-t-il rappelé.
500.000 emplois d'ici décembre
Le nouveau gouvernement prévoit notamment de "créer environ 500.000 emplois" d'ici décembre. "Entre maintenant et décembre 2009, nous prévoyons de créer environ 500.000 emplois", a déclaré M. Zuma.
"La création d'emplois décents sera au coeur de notre politique économique et influencera notre capacité à attirer les investissements", a-t-il ajouté devant le Parlement.
Le taux de chômage est officiellement de 23,1% en Afrique du Sud, première puissance économique du continent noir, mais il frôle les 40%, selon la définition large de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Constructions d'infrastructures
M. Zuma s'est aussi engagé à "mettre à exécution" le programme de développement des infrastructures, prévu dans le budget adopté plus tôt cette année et chiffré sur trois ans "à 787 milliards de rands (98 milliards de dollars, 70 milliards d'euros)". Ce programme prévoit la construction d'écoles, de transports publics et d'installations sanitaires, a-t-il précisé.
M. Zuma, élu président par le Parlement après la victoire sans appel de son parti aux élections législatives du 22 avril, avait promis durant la campagne électorale de lutter contre la pauvreté et le chômage.Le nouveau président sud-africain a largement consacré son premier discours sur l'état de la nation à la lutte contre la pauvreté. Jacob Zuma, qui a abordé le défi posé par la crise économique, a entre autres annoncé la création de 500.000 emplois d'ici décembre.
La lutte contre la pauvreté "reste la pierre angulaire" du programme du nouveau gouvernement sud-africain, a déclaré le président Jacob Zuma mercredi au Cap (sud-ouest) lors de son premier discours sur l'état de la nation, alors que le pays vient d'entrer en récession.
"La lutte contre la pauvreté reste la pierre angulaire de notre gouvernement", a déclaré M. Zuma.
"Même si l'Afrique du Sud n'a pas été autant touchée que d'autres pays (par la crise), ses conséquences affectent désormais clairement notre économie. Nous sommes entrés en récession", a-t-il poursuivi.
"Minimiser l'impact négatif"
"Le ralentissement économique aura des conséquences sur le rythme auquel notre pays sera capable de relever les défis économiques et sociaux", a-t-il reconnu Jacob Zuma.
"Mais cela n'aura pas d'incidence" sur nos objectifs en matière de développement, a-t-il immédiatement ajouté.
"Nous devons agir pour minimiser cet impact négatif sur les personnes les plus vulnérables", a insisté le chef de l'Etat. "Des travailleurs luttent pour nourrir leur famille et bataillent pour trouver du travail", "des communautés sont sans eau potable, logements décents ou installations sanitaires correctes", "des enfants n'ont pas les moyens d'avoir une bonne éducation", a-t-il rappelé.
500.000 emplois d'ici décembre
Le nouveau gouvernement prévoit notamment de "créer environ 500.000 emplois" d'ici décembre. "Entre maintenant et décembre 2009, nous prévoyons de créer environ 500.000 emplois", a déclaré M. Zuma.
"La création d'emplois décents sera au coeur de notre politique économique et influencera notre capacité à attirer les investissements", a-t-il ajouté devant le Parlement.
Le taux de chômage est officiellement de 23,1% en Afrique du Sud, première puissance économique du continent noir, mais il frôle les 40%, selon la définition large de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Constructions d'infrastructures
M. Zuma s'est aussi engagé à "mettre à exécution" le programme de développement des infrastructures, prévu dans le budget adopté plus tôt cette année et chiffré sur trois ans "à 787 milliards de rands (98 milliards de dollars, 70 milliards d'euros)". Ce programme prévoit la construction d'écoles, de transports publics et d'installations sanitaires, a-t-il précisé.
M. Zuma, élu président par le Parlement après la victoire sans appel de son parti aux élections législatives du 22 avril, avait promis durant la campagne électorale de lutter contre la pauvreté et le chômage.
Tuesday, 2 June 2009
No Winner Seen in Somalia's Battle With Chaos
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Monday, 1 June 2009
Où sont les femmes. .?
Il y a une inquiétude grandissante dans les pays pauvres comme le Cameroun où , malgré le fait que chaque année nous ayons de plus en plus des femmes qui ont accès à une éducation élevée , je suis attristé de remarquer le manque de rôle modèle pour ces jeunes filles, qui manquent probablement d’émulation dans une société entièrement contrôlée par les hommes ; et où les femmes sont contenues dans les positions sans véritable pouvoir, juste pour remplir les chiffres et renvoyer l’image d’une diversité de façade pour notre nation. J'ai eu la chance de rencontrer plusieurs jeunes filles très intelligentes et franchement impressionnantes pendant mon temps à l'université ou à l'école en général; D’où mon engouement pour souligner la nécessité de changer pour une société où plus de femmes sont impliquées, avec cette passion (oui la passion et l'empathie) très souvent liée à l’être féminin.
Après la mort de mon père, j'ai eu l'occasion d'être témoin, non seulement de la force d'une mère affectueuse, mais aussi de la puissance d'une femme en action. Je sais que partout dans le pays il y a beaucoup de femmes fortes et intelligentes ; peut-être juste incertaines de leur destinée, hésitantes et prêtes à tolérer les choix de cette génération d’hommes ; pourtant notre pays bien aimé a déjà perdu la moitié d'un siècle dans la recherche de la liberté et de la prospérité sous la direction de plusieurs générations d’hommes.
La question évidente est donc: Où sont les femmes? Qu'arrive t'il à toutes ces brillantes filles après l'école ?
Je lisais un article dans l'hebdomadaire britanique « The Independent On Sunday» sur le fait que : les femmes à l'université surpassent les hommes dans presque chaque aspect de l’éducation supérieure, selon une recherche éditée aujourd'hui.
Il se trouve que non seulement les femmes dépassent les hommes en nombre globalement à l'université, elles les dépassent également en nombre à chaque type d'université. Elles sont également plus disposées à obtenir une bonne mention à la licence et sont moins désireuses de jeter l’éponge.
Les tentatives du gouvernement britannique à élargir la participation à l’université aux groupes désavantagés semblent également avoir frappé plus d'une corde les femmes que les hommes. Il y a plus de filles qui ont été sponsorisées à l'école continuant une éducation supérieure que des garçons.
Dans pratiquement chaque groupe ethnique, aussi bien compris les communautés bangladaises que pakistanaises, où la religion ou la culture parfois poussent quelques familles à dévaloriser l'importance de l'éducation des femmes, plus de femmes que d'hommes vont à l'université.
Les figures citées par HEPI montrent que 49.2 pour cent de femmes optent maintenant pour une éducation supérieure - comparée à seulement 37.2 pour cent des hommes.
S’agissant de la licence, 63.9 pour cent de diplômées de femmes obtiennent une « bonne » mention comparée à 59.9 pour cent des hommes. Le rapport prouve également que les femmes dépassent les hommes en nombre sur la plupart des cours - comprenant des cours de loi et de médecine qui mènent aux emplois les mieux payés. Il n’y a qu’en technologie, la science, l'architecture, les maths, l'informatique, et la technologie physique que les femmes sont dépassées en nombre par les hommes.
Je suis un homme fier, en fait si fier que beaucoup de femmes qui se sont étroitement rapprochées de moi ont parfois décrié une couche de sexisme chez moi. J'ai naturellement toujours nié cette perception, et j'espère qu'en exprimant publiquement mon appel aux femmes de mon pays à diriger, elles pourront finalement toutes croire au féministe qui vit en moi.
Où sont les femmes. .? L'heure est venue pour les femmes Camerounaises de s’élever, car notre pays a besoin de vous ! Je suis prêt à vous servir mes Dames !
Lucien Dissake
Sonia Sotomayor rejected the New Haven firefighters' claim because it threatened to burn down civil rights law.
Link: http://www.slate.com/id/2219062
jurisprudence
Bad Test
Sonia Sotomayor rejected the New Haven firefighters' claim because it threatened to burn down civil rights law.
By Richard Thompson Ford
Posted Wednesday, May 27, 2009, at 10:49 AM ET
Read more from Slate's coverage of Sonia Sotomayor's nomination.
In 2003, the New Haven Fire Department decided to base promotions to the positions of captain and lieutenant primarily on a written exam. But the next year the city threw out the test results when all but one of the eligible candidates for promotion proved to be white. New Haven firefighter Frank Ricci, a high scorer on the test who is white, sued for reverse discrimination. His case is now before the Supreme Court in Ricci v. DeStefano. The case is getting extra play because 2nd Circuit Judge Sonia Sotomayor, President Obama's choice to take Justice David Souter's place on the Supreme Court, joined a brief opinion rejecting Ricci's appeal and then voted to deny rehearing of his case. Many commentators have championed Ricci's cause and disparaged Sotomayor for voting against him.
New Haven's decision may sound like blatant racial favoritism, but in fact the city rejected the firefighter exam because the test violated Title VII, the federal civil rights law that prevents discrimination in employment. Title VII requires employers to consider the racial impact of their hiring and promotion procedures in order to prevent discrimination that's inadvertent as well as intentional. Ricci's claim is that the city's effort to comply with Title VII is itself race discrimination (under the 14th Amendment to the Constitution and under Title VII itself).
This argument would undermine an important part of modern civil rights law. Some of Sotomayor's critics argue that, in the era of Obama, we no longer need such proactive policies to promote racial equality. But racism isn't a thing of the past yet. In fact, we haven't corrected the lingering effects of racism that is in the past. It's precisely because overt racism is no longer the main impediment to racial equality that the law against inadvertent discrimination is arguably now the most important part of civil rights law.
There are two ways an employer can discriminate according to Title VII. He can intentionally discriminate by making race a factor in employment decisions—choosing a black candidate over a white candidate because he is black. Frank Ricci claims the city intentionally discriminated when it threw out the exam results because most of the people who scored high were white. An employer can also discriminate by using a selection process that has a disparate impact—in other words, that screens out a particular group for no good reason. New Haven claims that the test it tossed out had a disparate impact. Eight black, 25 white, and eight Hispanic firefighters took New Haven's test for promotion to captain; three black, 16 white, and three Hispanic candidates passed. Nineteen black, 43 white, and 15 Hispanic firefighters took the test to become lieutenant; six black, 25 white, and three Hispanic candidates passed. This result counts as discriminatory under the rules of the Equal Em!
ployment Opportunity Commission. New Haven was right to worry about the possibility of a lawsuit from black firefighters if it accepted the results of the tests.
The city was also in a bind because its agreement with the firefighters union required that the exam count for 60 percent of the decision about whether to promote each candidate and because a city charter rule required that every promotion go to one of the three top-scoring candidates. These rules magnified the disparate racial impact of the exam—no black candidate and only one Hispanic candidate was eligible for promotion, even though several of them passed the test. More reason for the city to worry about a lawsuit by the African-Americans who were to be passed over.
Conservatives think the law against disparate impact discrimination does more harm than good. For instance, John McWhorter, writing for the New Republic, portrays New Haven's position in Ricci as the latest iteration of the tired argument that standardized tests are "culturally biased" against racial minorities. McWhorter decries the "rhetorical contortions that excuse black people from challenging examinations." And Abigail and Stephan Thernstrom insist in the Wall Street Journal that even "sharp racial disparities" in testing results "are not an argument for racial quotas." Both McWhorter and the Thernstroms worry that a law that is premised on lower performance by racial minorities has become self-fulfilling: Such racial disparities, the Thernstroms admonish, "should not be regarded as a permanent fact of life."
But, properly applied, disparate impact law doesn't excuse poor performance, nor does it require quotas. Instead it smokes out hidden bigotry and requires employers to avoid unnecessary segregation of the work force. Suppose an employer wants to keep women out. Knowing that he can't just put a "women need not apply" sign in his window, he might use a proxy, such as a weightlifting test, knowing that women on average have less upper body strength than men. The law against disparate impact discrimination is designed to reveal such hidden bias. Now, suppose an employer has no desire to discriminate against women but uses a weightlifting test simply because he thinks, all other things equal, stronger employees are better than weaker ones. Disparate impact law also prohibits this: It requires the employer to reconsider job qualifications that favor one race or sex, unjustifiably.
Of course, there might be a good reason to prefer people who are physically stronger—or who score higher on a written exam. The law gives employers a chance to prove that the discriminatory criteria are job-related. The idea, then, isn't to make an employer hire less qualified women or minorities over more qualified men or whites. It's to make sure the employer is testing for job qualifications, not unrelated ones.
Race discrimination has locked minorities into poor neighborhoods with failing schools for generations: As a result, blacks, as a group, continue to perform less well on written exams than other races. Perhaps New Haven's black candidates could overcome these disadvantages by studying harder, like Frank Ricci did. But Ricci took extraordinary steps to ace the test—six months off work to prepare and $1,000 on tutoring. An equal-opportunity law that's premised on everyone taking such steps isn't likely to do much good in the real world of scarce time and money. And would encouraging the equivalent of intense cramming for the final really help employers select the best firefighter for the job?
Prohibiting tests that needlessly screen out underrepresented groups is a sensible way to ensure that employers have both qualified and integrated work forces. That's why Sotomayor and the 2nd Circuit rejected Ricci's claim. The timing of New Haven's decision is what makes it look so bad: It was a cruel bait-and-switch to reject the results after Ricci and others had studied for the exam and done well. But Ricci isn't attacking the timing of New Haven's decision; he's attacking the city for considering the racial impact of the exam. And that's exactly what disparate impact requires an employer to consider. Ricci's position threatens to burn down one of the nation's most important civil rights laws. Even in the improved racial climate of the Obama era, that should set off alarms.
Richard Thompson Ford teaches at Stanford Law School and is author of The Race Card: How Bluffing About Bias Makes Race Relations Worse, now out in paperback.
Photograph of attorney Karen Torre and plaintiff Frank Ricci by Brad Horrigan/New Haven Register/AP.
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Where are the women..?
There is a great concern in poor countries like Cameroon where; despite the fact that every year we have more and more women who have access to higher education, the alphabetisation’s rate is still really low. Going forward, I am worried about the lack of role model for these girls, who probably lack something to aim for in a society entirely control by men, and where women are contained in positions without real power, just to make up the numbers, and make a mockery of the diversity of our nation. I met a lot very bright and quite frankly impressive young girls During my time at University or at school in general. I can not emphasize more the need to change for a society where more women are involved, with the kind of passion (yes the passion and empathy) so often associated with them.
After my father's death, I have had the opportunity to witness, not only the strength of a caring and loving mother, but the real power of a woman in action. I know that all over the country there are many strong and intelligent women; maybe just unsure of their destiny, hesitant and prepared to tolerate the lead of another generation of male; yet our beloved country has already lost half of a century in search for freedom and prosperity in the hand of men.
The obvious question is therefore where are the women..? What happens to all those brilliants girls after school?
I was reading an article on “The Independent On Sunday” about the fact that: university women outperform men in almost every single aspect of higher education, according to research published today.
It finds that not only do women outnumber men overall at university, they also outnumber them at every type of university. They are also more likely to get a good degree pass (a 2:1 or a first) and are less likely to drop out.
For good measure, the Government's attempts to widen university participation among disadvantaged groups also appear to have struck more of a chord with women than men. There are more girls who were entitled to free meals at school going on to higher education than boys.
In virtually every ethnic group, too, including Bangladeshi and Pakistani communities, where religion or culture may have led to some families downplaying the importance of education to women, more women than men go to university.
Figures cited by HEPI show 49.2 per cent of women now opt for higher education – compared with only 37.2 per cent of men.
Women are further ahead in representation at post-1992 universities (the former polytechnics) – 23.8 per cent of women attend one, compared with 18 per cent of men.
When it comes to degree passes, 63.9 per cent of women graduates obtain a "good" degree (first or upper second) compared with 59.9 per cent of men. The percentage of women obtaining a first (13 per cent) is lower than that of men (13. 9per cent), but because their overall numbers are so much greater, this still means that more women than men are now leaving university with a first.
The report also shows that women outnumber men on most courses – including law and medicine courses – which ultimately lead to high paid employment. Only in technology, physical science, architecture, maths, computer sciences, and engineering are women outnumbered by men.
I am a proud man, in fact so proud that many women that came close found a touch of sexism in me. I have always denied that of course, and I hope that by publicly expressing my call for the women of my country to take over, they will finally believe the feminist in me.
Where are you women..? Now is the time for the Cameroonians women to step up to the plate; because your country needs you! I am Lucien Dissake and I am reporting for Duty!
Lucien Dissake
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